J’adore Good Old Games, plus connu sous le nom de GoG. J’ai pas mal de jeux là bas, donc beaucoup que j’ai chopé gratuitement et même si je n’ai pas trop le temps de jouer, je continue régulièrement à entretenir ma forme sur SimCity 2000.
De ce que j’ai pu comprendre ici, même si GoG propose aussi des jeux pour Linux, ils ne proposent pas leur client GoG Galaxy, disponible uniquement pour Windows et macOS.
Une fois configuré avec votre compte, vous pourrez télécharger vos jeux et les lancer sans aucun souci. De plus, Minigalaxy permet de choisir la langue de vos jeux, de modifier l’endroit où ils sont installés, sans parler de faire des recherches parmi vos jeux.
Pour ceux qui auraient acheté des jeux non compatibles avec Linux, Minigalaxy propose aussi un branchement avec Scummvm ou Dosbox et même Wine pour les plus motivés. C’est top et c’est disponible sur toutes les distribs.
J’aime bien Ghidra, l’outil de reverse engineering de la NSA. Et apparemment, nombreux sont les hackers à l’avoir adopté. La preuve avec le youtubeur StackSmashing qui a réalisé une vidéo super instructive dans laquelle il reverse la ROM d’un jeu GameBoy, en l’occurence Pokemon.
C’est une vidéo éducative et il s’amuse à changer des noms, ajouter des sprites, modifier des comportement…etc directement dans la ROM du jeu à l’aide de Ghidra.
Je pense que si vous vous intéressez au Reverse ou au rétro gaming, ça devrait vous plaire… Le meilleur des 2 mondes.
Si vous êtes développeur et que vous manipulez du Docker dans vos projets, je pense que cet outil pourra vous intéresser.
Portainer.io dans sa version CE (Community Edition) gratuite est une boite à outils permettant de créer, gérer et réaliser la maintenance d’environnements Docker sans se prendre la tête puisque tout se fait au clic.
Plus de commandes complexes à taper dans un terminal, vous vous connectez à votre interface Portainer.io et vous pourrez mettre en place des environnements Docker sans avoir à vous palucher une grosse doc technique. Bref, un gain de temps pour ceux qui débutent, mais aussi pour ceux qui y passent beaucoup de temps dans la journée.
Portainer vous permettra de réduire le risque de fausse manip, mais aussi d’exploiter et dépanner vos environnements Docker de manière fiable grâce aux outils de diagnostics intégrés sur l’état des conteneurs, les journaux d’événements ainsi que la config du cluster..
Combien commencent à prendre un certain plaisir à bosser depuis chez eux ? Oui et cela même s’il y a plein d’inconvénients et de distractions, et que la période d’adaptation est parfois compliquée. J’avais d’ailleurs publié un article pour commencer à mettre en place vos nouvelles habitudes de télétravailleurs.
Et si aujourd’hui nous allions un peu plus loin avec l’aide de Logitech ? Après avoir paré à l’essentiel, raffinons un peu (j’écris cette phrase avec le petit doigt levé comme il se doigt).
Si vous avez l’habitude de lire mon site, vous connaissez sans doute déjà Rufus ou BalenaEtcher qui sont bien utiles pour déployer des OS sur des clés USB afin de pouvoir démarrer dessus et les installer.
La particularité de ces outils, c’est qu’ils copient le contenue de l’ISO (image disque) sur la clé USB et y ajoutent ensuite le nécessaire pour que cette clé devienne bootable. Et cela fonctionne très bien.
Avec l’outil Ventoy dont je vous parle dans cet article, c’est le même objectif, mais la différence c’est qu’aucun fichier n’est extrait de l’ISO dont vous avez besoin. C’est carrément vous qui copiez l’ISO sur la clé USB et c’est Ventoy qui se charge de démarrer dessus.
Sympa non ?
Ce qui est cool, c’est que vous n’avez pas besoin de reformuler à chaque fois, il suffit de remplacer les ISO ou d’en ajouter de nouvelles et vous aurez même un joli menu vous permettant de choisir sur quoi démarrer. Plus de 160 ISO ont d’ailleurs été testées avec succès.
Les BIOS traditionnels mais aussi UEFI sont supportés et Ventoy est totalement open source.
J’espère que ça se passe bien pour vous et que le confinement ne vous tape pas trop sur la tête. Ici, ça roule. J’avance sur la production de mes prochaines formations, j’écris des articles que je programme pour le futur, j’enchaine les réunions en visioconférence puis quand tout ça me saoule, je vais arracher des trucs dans mon jardin, je bidouille sur Ableton ou je viens raconter des conneries sur Twitter 🥳.
60 jours de confinement pour ma part (oui j’avais de l’avance) et je ne vois pas le temps passer. J’ai l’impression que ça ne fait qu’une semaine que je n’ai pas mis le nez dans le grand monde. À voir si c’est un symptôme du confinement ou le début de la folie ;-).
Quelques spots de pub, comme cela a été fait sur les gestes barrières, et ça ira déjà mieux.
Les effets de bord que nous allons tous nous prendre dans la gueule suite à ce Coronavirus vont être nombreux et notre salut viendra de la résilience. Personnelle, mais aussi collective et territoriale. Et cela à tous les niveaux (éducatif, sanitaire, environnemental, économique, alimentaire, dépendance au pétrole…etc.). Malheureusement, je ne suis pas certain que ceux qui nous dirigent soient dans l’introspection à ce sujet. Mais je sais qu’il y a beaucoup de citoyens qui bossent dur en ce moment et qui se posent les bonnes questions pour d’abord amortir le choc qui arrive, mais également pour réinventer et réorganiser notre société et nos territoires pour que nous puissions tous continuer à vivre durablement.
