Hier, je vous parlais de The Escapists et ce midi, j’ai tilté que Epic Games proposait aussi The Wolf Among Us en version gratuite.

Sorti en 2013, ce jeu est un point & click adapté du comics Fables de Bill Willingham. Le héros est un Loup Garou qui est le shérif de la ville et doit protéger les autres habitants fantastiques. Ces personnages fantastiques vivent parmi les humains mais un enchantement leur permet d’avoir une apparence humaine pour les autres humains. Et ceux qui ne peuvent plus payer cet enchantement sont alors exclus et doivent vivre loin de la ville.

Je viens de tester un peu ce jeu et je suis assez vite rentré dans l’action. Pour un jeu de 2013, il se défend bien et n’a pas trop vieilli grâce à son style très graphique.

Si vous voulez y jouer ce week end, c’est par ici que ça se passe.

Si vous êtes sur iPhone et que vous avez effectué la mise à jour vers iOS 13, vous ne le savez peut-être pas, mais Apple a intégré un mode « Low Data » ou en français « Faibles données ».

Ce mode permet d’économiser de la data sur le réseau mobile (3G/4G) ou sur les réseaux wifi de votre choix. C’est pratique si vous avez un petit forfait ou si le réseau wifi sur lequel vous êtes est limité en data.

Évidemment, rien n’est magique et en activant ce mode, votre smartphone suspendra la synchronisation en arrière-plan ainsi que les mises à jour automatique.

Alors, comment activer le mode « Faibles données » sur iPhone ? Et bien pour tout ce qui est 4G, rendez-vous dans les Réglages et cliquez sur « Données cellulaires »

Ensuite, cliquez sur « Options »…

Et enfin, activez le mode « Faibles Données ». Et voilà.

Et pour le wifi, c’est un peu pareil. Il faut aller dans Réglages -> Wifi et cliquer sur le réseau Wifi qui vous intéresse puis activer l’option :

A vous les économies de data !

Oui mes amis tout finit par arriver si vous avez la patience d’attendre. Enfin sauf planter des billets papiers dans le jardin pour qu’un arbre à pognon pousse, quoique …

Depuis sa version 71 (sortie début du mois), le navigateur Firefox propose en effet un mode kiosque intégré … mais uniquement sous Windows. Pour Linux et macOS il faudra attendre le mois prochain et la version 72. C’est une fonctionnalité qui était attendue par certains depuis … la naissance même de Firefox il y a plus de 17 ans ! (déjà, bordel que le temps file)

Et même s’il y a eu des extensions permettant de faire la même chose (R-Kiosk, Modern Kiosk, …) le mode n’avait jamais été ajouté directement dans le navigateur.

Alors qu’est-ce que le mode kiosque vous allez me dire ?

Et bien il s’agit tout simplement d’un mode d’affichage dans lequel le navigateur va se lancer en plein écran et sans les éléments d’interface classiques (les barres de favoris/onglets/URL/titre, les menus …). Ce qui est pratique dans plusieurs cas comme lors d’une présentation, d’une démo ou lorsque le navigateur est destiné à un usage public (bibliothèque, salle de classe, interface client en boutique …).

En gros c’est assez similaire au mode plein écran habituel de Firefox (touche F11) mais avec la différence qui est de désactiver des options supplémentaires et notamment de ne pas pouvoir sortir du mode ou fermer la fenêtre (alors que le mode plein écran vous en sortez en tapant à nouveau sur F11). Le mode plein écran perpétuel imposé. Vous n’aurez même pas droit au menu contextuel via clic droit de la souris ni à la barre d’état en bas de page qui permet d’afficher l’URL de destination d’un lien cliquable. Le goulag j’vous dit !

Il faut considérer le mode Kiosque comme un lecteur de pages web sans interactions possibles avec le navigateur ou ses réglages.

Maintenant vous vous dites sûrement comment faire pour activer ce mode pour vos enfants/élèves/clients par défaut ?

Vous pouvez faire que Firefox se lance automatiquement en mode kiosque en créant un nouveau raccourci spécifique. Pour cela assurez-vous d’avoir la dernière version du navigateur (71 minima si vous avez bien suivi).

Cliquez avec le bouton droit de votre souris sur le raccourci ajouté sur vos bureaux et sélectionnez « Propriétés ».

Dans le champ « Cible » vous devrez simplement ajouter –kiosk en fin de ligne. Et comme ci-dessus, si vous voulez en plus que le raccourci ouvre un site précis ajoutez l’URL de ce site entre guillemets, ce qui devrait donner ceci :

 "C:\Program Files\Mozilla Firefox\firefox.exe" --kiosk "https://korben.info" 

Pour ajouter en plus de ça la navigation privée, il suffit d’ajouter le paramètre -private-window à la ligne précédente.

"C:\Program Files\Mozilla Firefox\firefox.exe" --kiosk -private-window "https://korben.info"

Voilà c’est tout, au prochain lancement tout devrait être fonctionnel. Attention quand même de savoir un minimum ce que vous faites et n’oubliez pas qu’il reste toujours le combo CTRL+T (ou ALT+F4) pour sortir du kiosque 😉

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Après le premier épisode sur nos logiciels indispensables, nous revenons cette semaine avec Rémi pour un sujet-choc, un sujet qui fait claquer des dents les petits enfants et les Boomers ^^ : les DRM posent-ils problème et sont-ils l’oeuvre du diable ?

Est-ce que la gestion des droits numériques (DRM) sur les oeuvres est une bonne ou une mauvaise chose ? Pour tenter de répondre à cette question, nous creusons (comme d’habitude) dans nos souvenirs afin de faire un tour d’horizon des différents types de DRM que nous avons connus. Limitation par zone géographique (notamment pour les films et jeux), limitation physique du matériel (DVD qui se dégradait), limitations techniques (formats spéciaux, empêcher d’avancer rapidement sur les pubs …).

Vous apprendrez même pourquoi je suis fils de grand bandit. Vous connaissez Lucky Luciano ? Pareil, mais en pire, la Korben familia ça ne rigole pas.

À partir de quel moment les DRM sont-ils allés trop loin point de vue éthique, technique et du droit (droit à la copie privée) ? Alors que nous avions tous l’habitude d’acheter un accès complet et durable à une oeuvre (un film, un jeu, une musique, un logiciel …), sommes nous passés sur un modèle d’utilisation temporaire qui dépendra du bon vouloir des possesseurs de l’oeuvre ? (comme cela a été le cas récemment pour le jeu Tron : Evolution)

Pour aller plus loin (on en parle dans la vidéo) :

• GOG
• Jon Lech Johansen
• DeDRM
• Itch.io
• Qobuz et Bandcamp
• Ne dites plus hackathon, mais marathon de programmation

Nous suivre sur les réseaux (Instagram – Twitter – Facebook) ou au format podcast sur toutes les plateformes du moment.

À la semaine prochaine ! Et ce sera avec un invité surprise … surprise surprise 😉

On ne va pas s’en cacher, ajouter des emojis est parfois bien marrant et permet de montrer son humeur en une seule petite image. D’un autre côté il y a pas mal de personnes qui en abusent au point de ne plus savoir ce que l’emoji signifie vraiment, après tout chacun peut avoir sa propre interprétation de l’emoji en question.

Par exemple lorsque je partage un lien et que l’on me répond avec un smiley « yeux en formes de coeurs », est-ce que la personne aime mon info ou tout simplement ma modeste personne et mon corps de rêve ? Véritable dilemme quotidien.

Emoji Maker vous permet de créer et d’affiner les émotions que vous voulez donner à vos smileys. Parce que les smileys ont des émotions okay ? Ce sont de petits êtres fragiles qui méritent notre attention. Le tout dans une interface intuitive et super simple à prendre en main.

Il y a 4 paramètres modifiables (la ligne du bas) et vous aurez le choix entre 23 visages, 83 yeux, 61 bouches et 41 « émotions ». Soit un bon gros paquet de personnalisations possibles. Et comme pour les avatars Funko Pop, que j’ai présenté il y a peu, il y a un bouton random pour en créer de manière aléatoire.

Je vous laisse vous amuser avec le service qui vous permet d’exporter votre résultat final aux formats PNG ou SVG. Maintenant, reste à trouver l’émotion que j’ai voulu faire passer dans cet emoji, vous avez 4 heures 😉

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