Si vous développez des logiciels, possiblement des logiciels libres, peut-être avez-vous envie de mettre à disposition de vos utilisateurs, un joli site web avec l’ensemble de la documentation relative à votre projet ?

Mais comment faire pour ne pas y passer trop de temps ?

Pourquoi ne pas mettre en place une instance de Docusaurus ?

Docusaurus permet de concevoir, déployer et maintenir facilement des sites documentaires pour vos projets open source. Propulsé par React, Docusaurus peut être étendu ou customisé selon vos besoin. Le support et la gestion des langues y sont intégrés, et tout ce que vous produirez comme contenu (posts de blog, documentions…etc.) au sein de Docusaurus pourra être rédigé grâce à la syntaxe markdown avant d’être généré sous la forme de fichiers HTML statiques.

Docusaurus offre aussi du versionning pour que votre documentation soit toujours synchronisée avec les releases de vos projets et un moteur de recherche basé sur Algolia permettra à vos utilisateurs de s’y retrouver facilement.

Pour voir des exemples d’implémentation de Docusaurus, vous pouvez déjà consulter le site du projet, mais aussi les sites de projets qui l’utilisent comme Bowler, React Native ou Metro de Facebook ou encore Prettier.

Bonne doc à tous !

+ d’infos ici.

Êtes-vous développeur ?

Si vous n’avez pas connu la belle époque, celle où les gens créaient leurs logiciels 8bit en assembleur à destination de machines comme l’Atari 2600, le VIC Dual, le Midway 8080, le Galaxian, l’Atari Vector, le Williams, ou encore l’Apple ][+, ou si vous avez envie de vous y remettre, j’ai ce qu’il vous faut.

Il s’agit de 8bit Workshop, un IDE en ligne qui va vous permettre de coder directement depuis votre navigateur en assembleur 6502 (ou en C) et d’en observer directement le résultat dans l’émulateur JS qui se trouve à droite de l’écran.

Pour configurer l’IDE en fonction de la machine de destination, ça se passe dans le menu en haut à droit.

C’est magique ! Cela vous permettra de vous essayer à de « nouvelles » anciennes choses, mais aussi pourquoi pas développer de nouveaux outils pour ces anciennes machines ? À vous de voir. D’ailleurs, pour vous inspirer, de nombreux exemples sont accessibles.

Amusez-vous bien ! => 8bit Workshop

Si vous suivez un peu l’actualité spatiale, je ne vous apprendrai rien en vous disant que l’espace à proximité de la Terre est une véritable poubelle.

Alors pas vraiment des sacs poubelles remplis de vos déchets ménagers, mais plutôt de bouts de fusées, de satellites et de débris divers et variés.

Et cette surcharge d’objets en orbite autour de notre belle planète peut avoir une incidence sur les lancements ou les mises en orbite futures. C’est pourquoi il convient de les recenser et surtout d’en déterminer les orbites afin d’éviter d’éventuelles collisions.

Toutefois, il est difficile de se rendre compte de ce que ça représente visuellement. L’espace, ce n’est pas quelque chose que nous simples mortels avons l’habitude de pratiquer « physiquement » à part quelques heureux astronautes.

Mais en vous rendant sur le site Stuff in Space, vous verrez la Terre, entourée de ces milliers d’objets en orbite ou à la dérive, et vous pourrez faire leur connaissance et admirer leurs orbites. Le tout en temps réel bien évidemment, sinon, ce n’est pas drôle.

En rouge, les satellites, en bleu les morceaux de fusée, en gris les débris et en jaune des « objets » (aucune idée de ce que c’est… Surement des trucs-espions ou des cosmonautes fantômes ^^). Et ça en fait du bordel.

Tout est filtrable et vous pouvez connaitre l’altitude, la vitesse, la révolution de chacun de ces objets flottants.

Terriblement captivant !

Philippe Borrel est un réalisateur de documentaires (diffusés principalement sur Arte), qui revient avec un nouveau sujet qui va surement tous nous intéresser : Le Libre.

Et par opposition, l’enfermement dû à la propriété intellectuelle qui s’impose sur le logiciel, mais aussi sur les semences ou encore les médicaments.

Ce documentaire devrait bientôt sortir. J’ai hâte de voir ça.

Ça fait un petit moment que je teste le casque Bose QuietComfort 35 II et je me décide enfin à vous faire un petit retour sur mon expérience.

Tout d’abord, j’en avais assez des casques audio avec fil, alors je lurkais un peu du côté des Airpods d’Apple, mais lâcher 180 balles pour un truc sur lequel les gosses vont marcher, que j’oublierai probablement au fond d’un jeans parti pour un tour de machine à laver, voire qui m’échapperait dans la rue ou au fond d’un sac… hmm…

Puis je suis tombé sur le casque sans fil Bose QC35. Pas le même style, plus encombrant, mais tellement génial que je ne saurai plus m’en passer.

Ce casque présente plusieurs avantages. Comme c’est un casque Bluetooth, il sait s’appairer avec plusieurs appareils (et 2 en simultanée), propose une autonomie de 20h ce qui est énorme, et comme il se plie, on peut le ranger facilement dans sa petite sacoche rigide.

Au-delà du son réputé de Bose, ce que j’apprécie le plus c’est sa fonction antibruit. Une fois sur les oreilles, tout devient calme et paisible. Et quel bonheur !

Par exemple, dans le train, la semaine dernière, je me suis tapé des gros boulets qui ont braillé tout le long du trajet (3h30 de TER, vive l’Auvergne). Et bien sans mon casque, je peux vous dire que j’aurai eu du mal à me concentrer sur ma partie de RimWorld ou sur mon bouquin.

Même chose à la maison… Je peux enfin lire quand les enfants matent leurs épisodes de LadyBug en hurlant debout sur le canap (pour encourager l’héroïne).

Et je n’ai pas pris l’avion depuis que je l’ai, mais vu comme le bruit ambiant dans mon train est annulé, je me dis qu’en avion, ça doit être moins douloureux niveau boucan.

Et niveau poids, et bien je le trouve assez léger et je peux rester plusieurs heures avec sans être gêné.

Le QC 35 II offre aussi la possibilité de téléphoner en mains libres et ça, c’est idéal quand je prépare le repas du soir et que je continue de bosser. (ceux qui me suivent sur Instagram savent de quoi je parle)

Il se recharge avec un câble micro USB, permet de monter / baisser le volume, de mettre en pause la musique ou de décrocher un appel, et offre aussi un bouton fonction qui peut servir soit à régler le niveau de filtrage du bruit ambiant (pour ceux qui ont un peu de mal avec l’effet bocal) soit à parler avec votre « OK Google » ou votre « Amazon Alexa » (je n’utilise pas ces trucs, donc je ne peux pas vous en dire plus).

Et pour ceux que ça intéresse, il possède un port mini-jack 2.5 pour le connecter à votre walkman (il faudra un adaptateur donc).

Par contre, ce qui pique un peu, c’est son prix. Le mien, je l’ai chopé en promo sur Amazon à 276 euros au lieu des 379 euros actuellement. Mais si vous vous décidez, attention, car les prix sont différents selon les coloris. Au moment de mon achat, c’était le bleu (pardon, le « Triple Midnight ») qui était soldé. Maintenant c’est cette couleur la plus chère… Il existe aussi en version argentée et en version noire.

Voilà pour mon modeste retour sur ce casque Bose QuietComfort 35 II. J’imagine qu’il y a mieux, plus cher, moins cher, ou que sais-je mais en ce qui me concerne, j’en suis très satisfait.