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Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière.
Trop énergivores, les infrastructures nouvelle génération sont mises en veille le soir tombé par certains opérateurs.
Si le pays affiche l’un des pires taux de mortalité par rapport à sa population, il n’observe en revanche pas de recrudescence des cas ces dernières semaines.
Pressés de trouver un vaccin contre le Covid-19, les laboratoires veulent assurer leurs arrières en Europe.
La liste des fournisseurs d’accès Internet qui ont subi des attaques la semaine dernière comprend la Belgique (EDP), la France (Bouygues Télécom, FDN, K-net, SFR) et les Pays-Bas (Caiway, Delta, FreedomNet, Online.nl, Signet et Tweak.nl).
Bouygues Telecom vient à nouveau de saisir le Conseil d’Etat. Objectif pour l’opérateur : faire capoter le décret dit “anti-Huawei” et pousser les autorités à passer à la caisse pour le dédommager.
Charlotte Bilger a été remerciée trois jours après avoir été nommée conseillère spéciale du ministre de la justice. En 2019, la magistrate avait mis en examen François Bayrou et plus d’une dizaine d’élus ou de cadres du MoDem pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Le député LFI Ugo Bernalicis, président de la commission d’enquête sur l’indépendance de la justice, accuse sept hauts responsables -procureurs, préfet, directeur de la police nationale- de “faux témoignages” et “parjures” devant les parlementaires.
Le nouveau protocole sanitaire publié ce lundi définit le masque comme un équipement de protection individuelle dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Les employeurs sont aussi tenus de d’organiser le nettoyage des masques réutilisables des salariés.
« ça fait deux ans qu’on sonne à toutes les portes : préfecture de police, de région, mairie du XVe ministère de l’écologie, mairie de Paris, et même présidence de la République ! On leurs a fait parvenir des photos accablantes Ils nous renvoient des lettres polies ».
Les syndicats sont toujours attachés au maintien de la technique qui, selon eux, est adaptée à la maîtrise de personnes violentes. […] Le changement à apporter, selon eux, est avant tout sémantique. « C’est assez sauvage comme terme, poursuit Denis Hurth, donc on cherche une autre appellation pour parler d’une technique similaire, une maîtrise de l’individu par la tête. »
Qu’avons-nous vu depuis six mois, depuis le surgissement du virus, depuis l’avalanche de transformations qu’il a produites ? Comment empêcher que le poids de l’habitude et la force de l’amnésie acclimatent ce qui était alors nouveau, impensable, terrifiant.
[…]Nous avons vu dans le taux d’équipement technologique de chacun la condition pour endurer une réclusion qui, il y a encore dix ans, aurait été éprouvée comme intolérable – un peu comme l’introduction de la télé en prison y a éteint les grandes révoltes.
Nous avons assisté à l’inflation fulgurante d’un type spécifique de technologies : celles dont Kafka disait que nous périrons parce qu’elles « multiplient le fantomatique entre les hommes ».
Nous avons vu, avec le confinement mondial, la socialisation du virtuel répondre à la virtualisation du social. Le social n’est plus le réel. Le réel n’est plus le social.
Qu’elle porte un gilet jaune ou un gilet noir, la sauvagerie ne doit pas être confondue avec ce qui se dit ordre mais n’est souvent que l’autre visage de la barbarie.
Mai 1962, le premier mois de mai “de la paix”. Les accords d’Évian ont été signés moins de deux mois plus tôt. Les Parisiens parlent de rien et de tout, du bonheur, du travail, des enfants… Une radiographie tendre et libre du Paris de 1962 et de ses habitants, tournée par Chris Marker et son chef-opérateur, Pierre Lhomme.
Pendant plus d’un siècle, les grandes puissances colonisatrices ont exhibé comme des bêtes sauvages des êtres humains arrachés à leur terre natale. Retracée dans ce passionnant documentaire, cette “pratique” a servi bien des intérêts.
« La plupart des logiciels coûtent plus de 100 dollars. Comment faites-vous pour donner le vôtre ? » Une meilleure question serait : comment les entreprises de logiciels peuvent-elles s’en tirer en facturant autant ? Les logiciels ne sont pas comme une voiture. Une fois que vous avez fait une copie de votre logiciel, les coûts de production pour en faire un million de plus sont infimes (c’est une des raisons pour lesquelles Microsoft a tant de milliards en banque).
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