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Pokémon Écarlate et Violet en 5 étapes

lundi 27 février 2023 à 19:34

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Aaah Pokémon, ça fait 27 ans que ça existe, on commence à connaître ! Chaque génération propose son lot de différence et les deux Pokémon Écarlate & Violet, sortis au mois de novembre dernier, ne font pas exception à la règle. Mais aujourd’hui, en lieu et place d’un test classique, j’avais envie d’accentuer les points forts de ces nouveaux jeux, en faisant une liste de ce que j’ai trouvé cool. 🙂 Bien sûr, je vous parlerais quand même de ce qui m’a déçu, et à la toute fin je vous donnerai mon avis de gamer chevronné !

1) Un monde tout vert

Ok, on commence par la promesse initiale : le monde ouvert. Ce nouveau Pokémon suit les traces de pattes de Légendes Pokémon Arceus et propose des environnements ouverts, à explorer à notre guise. Dès le départ (enfin, après une séquence de didacticiel qui met en place l’histoire), on peut choisir par quel côté débuter notre expédition, par définir quel objectif atteindre en priorité, etc. C’est aussi rafraîchissant qu’un verre de lait meumeu !

Et malgré cette réelle liberté, la progression est plutôt bien dosée. On débloque régulièrement des pouvoirs pour notre monture, ce qui nous permet d’atteindre de nouvelles zones. Le niveau des Pokémons rencontrés correspond plutôt bien à notre niveau à nous (et quand ce n’est pas le cas ce n’est pas trop gênant), là dessus, c’est bien foutu. Le scénario sort un peu du schéma habituel et on prend plaisir à avancer à son rythme.

2) L’école forbuissonnière

Au centre de la map : l’Académie. Ce n’est pas précisé clairement au départ, mais je vous conseille de vous y rendre régulièrement entre deux “missions”, car il y a des leçons à débloquer, ça nous apprend pas mal de subtilités sur le gameplay ou l’univers du jeu : y a des mini-quêtes, on va tisser des liens avec les profs et quelques élèves, et ça structure un peu notre progression. Et puis ça permet de récupérer plein de récompenses facilement. 😀

Ces allers-retours ne sont pas agaçants, car dès le départ de l’aventure, on a accès au déplacement rapide (concrètement : téléportation) et la carte nous indique les points intéressants de manière claire. Si l’envie vous prend de chasser les créatures téracristalisées, ou de retourner découvrir une zone précise, c’est faisable !

3) Des combats pas barbants

Je m’explique. 😀 Le système de baston a toujours été sympa, mais parfois un peu fastidieux (écrans de transitions et textes un peu longs, combats aléatoires…). Dans Arceus, tout cela avait été un peu bouleversé (aucun écran de transition, attaques rapides ou puissantes, Pokémon barons…), et c’était cool. Mais ici ils sont revenus en arrière sur pas mal de points. :’( Heureusement ils ont gardé certains trucs, et ajouté plein de petits détails qui nous facilitent la vie et rendent l’expérience plus fluide et agréable que dans les autres jeux canoniques.

Capturer un Pokémon demande toujours d’entrer en combat, cependant, se cacher dans les hautes herbes et lui balancer une pokéball par surprise (dans le dos) facilitera grandement l’opération. Manger certains aliments (on peut cuisiner et faire des piques-niques) boostera nos compétences de capture ou autre. Il est possible d’avoir un Pokémon de compagnie qui se balade à nos côtés : il ira se battre automatiquement, engrangeant XP et objets sans intervention de notre part ou presque. Ça nous évite plein de combats superflus, rend l’exploration et le farming plus agréable.

4) Une interface qui QoL

Plus besoin d’aller voir un NPC précis planqué dans un recoin paumé, pour effectuer certaines action bien précises : les menus sont complets, et nous permettent ENFIN de quasiment tout faire quand on le souhaite (même d’apprendre d’anciennes techniques, de renommer les Pokémons, …). OUF.

Aussi, pour une fois, on a un “vrai” mode multijoueur. On peut se retrouver jusqu’à 4 joueurs dans la même instance, explorer, échanger, faire des photos (🤷), participer à des raids ensemble, etc. L’avancée dans le scénario reste indépendante, car le jeu conserve la progression de chaque joueur, mais il est possible de faire nos quêtes chacun de son côté tout en étant dans le même monde, se retrouver sur la map, faire des échanges, etc.

5) Violet, écarlate, tout n’est pas rose

J’apprécie beaucoup ce volet, mais je regrette certains points. Tout d’abord, l’aspect graphique : c’est assez vide, fade, et parfois ça rame… 🙁 Un comble quand on voit certains jeux comme les Xenoblade, Zelda, ou Dragon Quest XI, beaucoup plus jolis et fluides sur la même console !

Aussi, je trouve dommage que le système de chasse/capture, tel qu’il était implémenté dans Arceus, ne soit pas de retour. Pareil pour les “barons”, les Pokémon de différentes tailles, etc. C’était vachement fun et ça apportait de la variété au gameplay.  Peut-être que la prochaine génération osera faire le mélange de tout ça ?

Conclusion

En dehors de ces quelques regrets, je trouve que c’est un excellent jeu, qui renouvelle l’expérience de belle manière. La durée de vie est plus que correcte, le scénario promet quelques surprises et l’aspect collectionnite est toujours aussi réussi. Ça apporte un bon petit coup de frais à la licence, vraiment agréable, je conseille !

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Pour ne plus être le SEO à la traine sur vos longues traines

lundi 27 février 2023 à 09:00

Connaissez-vous le concept de longue traine ?

C’est le passe-temps favori des experts en référencement (SEO) qui tentent d’en fourrer un maximum sur le site, en déterminant une grosse quantité de requêtes propres à leur domaine, y compris des requêtes peu fréquentes. Cela permet de capter du trafic sur plein d’expressions et de mots clés plus ou moins longs.

Sauf que voilà, faut un peu d’imagination pour les trouver toutes ces expressions. Heureusement, il y a un outil gratuit qui peut vous aider et qui s’appelle Suggest Machine.

Le concept est simple, vous entrez un mot clé, une langue (slurp), un pays et c’est parti mon kiki. Suggest Machine commencera à lister à la fois des requêtes suggérées, mais également des questions. Pour cela, il se base sur les suggestions renvoyées par Google.

Puis complétera votre demande initiale avec ses résultats pour générer encore plus de résultats et ainsi de suite.

Et ça peut durer comme ça, un bon moment. Donc après à vous d’exporter les listes en CSV pour commencer à bosser sur votre contenu SEO de longue traine.

Bon courage pour ce travail long et pénible !

Quand ChatGPT vous écoute (et vous parle)

dimanche 26 février 2023 à 09:00

Si vous n’aimez pas taper au clavier ou que vous n’avez pas de bras, et bien vous allez quand même pouvoir kiffer ChatGPT avec cette extension Chrome qui permet à la fois de lui parler mais également de l’écouter nous répondre.

Ainsi, Talk to GPT permet de rendre l’expérience de discussion avec l’IA encore plus naturelle.

Grâce à de la reconnaissance vocale, vous pourrez lui poser toutes vos questions et celle-ci vous répondra avec sa voix robotique (dispo dans toutes les langues). Vous pouvez évidemment choisir d’avoir uniquement l’audio en réponse, ou uniquement la reconnaissance vocale et vous pouvez aussi déterminer la vitesse d’élocution et des mots clés pour mettre en pause le plugin ou le relancer.

Pour installer l’extension, rendez-vous sur le Chrome Web Store à l’adresse suivante.

Une fois installée, ouvrez ou rechargez la page de ChatGPT et vous devriez voir un bouton « Start » en haut à droite de la page. Après avoir cliqué sur « Start », vous serez invité à autoriser l’utilisation de votre microphone.

Une option vous permettra également de valider votre question avant de l’envoyer (ou de l’envoyer directement).

Et voilà ! Bonne discussion à tous !

Comment intégrer ChatGPT dans votre moteur de recherche préféré ?

samedi 25 février 2023 à 09:00

Google est en alerte rouge depuis qu’OpenAI a sorti ChatGPT. En effet, c’est la première fois que je vois vraiment un service qui pourrait les « disrupter » pour parler comme Bruno Lemaire.

Mais en attendant que les IA de Google soient au point, on peut quand même grâce à l’extension ChatGPT for Google, intégrer le service d’OpenAI directement sur la page des résultats de recherche de Google, mais également de Baidu, Bing, DuckDuckGo, Brave, Yahoo, Naver, Yandex, Kagi, Searx…etc.

Il faudra bien évidemment vous connecter à votre compte ChatGPT…

Et vous verrez, ce n’est pas si rapide et pas si pertinent qu’une vraie conversation avec contexte dans l’interface classique de chatGPT.

Par contre y’a des options sympas qui permettent de le déclencher que lorsque vous posez une question, ou manuellement quand vous estimez que ça en vaut la peine ou encore de choisir la langue.

ChatGPT for Google est disponible sous Chrome et Firefox en cliquant ici.

Et si vous cherchez vraiment un moteur de recherche 100% IA et pas un truc hybride, il y a le moteur Perplexity.ai qui saura également répondre à toutes vos questions, en les sourçant, ce que ChatGPT ne fait pas.

Par contre attention, il faudra bien vérifier les réponses. Par exemple, si je lui demande ceci en français, j’ai un résultat faux :

Mais en anglais, je tombe juste :

Et quand on lui demande la couleur du cheval blanc d’Henri IV, ça part vraiment en couille. lol.

Perplexity aura de quoi vous laisser perplexe… roh roh roh 😉

Automatiser l’arrosage avec le Raspberry Pi

vendredi 24 février 2023 à 09:00

Si comme moi, vous êtes une super quiche en management de plantes vertes ou de végétaux extérieurs, vous devez absolument lire cet article. Alors non, quand je dis management de plantes vertes, je ne parle pas des ramollis que vous avez sous vos ordres au boulot.

Je m’adresse plutôt à tous les geeks de la nature qui mettent des plantes un peu partout chez eux ou dans leur jardin et qui rêvent de ne jamais oublier un arrosage… Voire qui souhaitent que ça se gère tout seul lorsqu’ils sont en vacances à Phuket.

Alors, comment faire ?

Et bien avec un bon vieux Raspberry Pi et le script python Watering, c’est possible !

Ce script, une fois en place sur un Raspberry Pi, permet de piloter un système d’arrosage dont les plans sont également fournis sur Github et vous pourrez même piloter tout ça au travers d’une interface web.

Pour ce faire, vous aurez besoin d’un Raspberry Pi Zero W, d’une pompe centrifuge, de vannes magnétiques, de modules relais, d’un capteur d’humidité, d’une alimentation électrique de 5V et de quelques autres pièces spécifiées dans ces plans libres, pour construire votre propre système d’arrosage automatisé.

Ce n’est pas plus compliqué que ça. Et une fois que c’est en place, vous n’aurez plus qu’à piloter votre système via l’interface PHP accessible depuis l’autre bout du monde (ou depuis votre salon).

Pratique !