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Blockbench – L’outil de modélisation LowPoly #minecraft

vendredi 6 janvier 2023 à 09:00

Aujourd’hui, je vous propose un outil qui va vous permettre de vous mettre à la 3D Low Poly. Son nom : Blockbench.

Il s’agit d’une application de modélisation 3D totalement open source dans laquelle vous allez pouvoir modéliser un objet ou un décor en 3D, lui ajouter des textures et bien sûr l’animer. L’objectif de Blockbench, c’est de permettre à chacun de créer des objets 3D pour Minecraft ou n’importe quel autre jeu.

Le rendu des créations est appelé Low Poly puisque les modèles utilisent très peu de polygones. C’est ce qui donne ce look jeu rétro très sympathique.

Alors bien sûr, loin de moi l’idée de vous expliquer comment fonctionne cet outil, car il y a un petit peu de boulot pour commencer à faire des objets un tant soit peu corrects, mais la documentation est bien fournie et la communauté, hyper motivée et chaleureuse.

Voici un rendu d’une création dans BlockBench :

Pas mal non ?

On retrouve dans BlockBench, tout ce qui fait le succès des outils de modélisation 3D, sauf qu’en plus, il supporte déjà des dizaines de plugins et propose même une API.

Bref, si vous voulez vous lancer dans la conception 3D, fabriquer des objets pour votre jeu préféré, créer des animations 3D ou tout simplement peindre des scènes comme celle ci-dessous, je vous recommande.

C’est dispo en version web, mais également sur tous les OS.

L’heure de l’Inscryption

jeudi 5 janvier 2023 à 12:05

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Un an après la version Windows, quelques adaptations (Linux, macOS, Playstation…) et quelques récompenses plus tard (IGF, GDCA, BAGA…), c’est un jeu encensé par tout le monde qui déboule enfin sur Switch : Inscryption.

Alors moi, je me méfie toujours des jeux qui profitent de ce genre de buzz, surtout quand ce sont des petites créations indés qui ne paient pas de mine. On crie parfois au génie pour des trucs qu’on a déjà vu (en mieux) ailleurs. Mais je me suis laissé tenté par le côté jeu de cartes / roguelite, devenu nomade grâce à la console de Nintendo, ainsi que de l’ambiance horreur… C’était parfait pour accompagner mes fêtes de fin d’année. 😀

Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est évidemment parce qu’il a réussi à me convaincre. Et je ne peux pas VRAIMENT vous dire pourquoi.

On débute le jeu face à un mystérieux adversaire, un conteur, qui va nous narrer en direct notre propre histoire, en portant des masques pour jouer les différents personnages. Il nous explique les règles, le déroulement, on se déplace sur une carte et à chaque arrêt, on va pouvoir modifier son deck (ajouts, modifications de cartes, etc.) ou combattre avec. Si l’on perd, on recommence à zéro. Enfin pas totalement, car on débloque quand même des éléments qui vont rester d’une partie à l’autre. 🤓

Au niveau du jeu en lui-même, le système ressemble à ce qu’on peut connaître chez Hearthstone, Magic the Gathering, etc. mais bien sûr avec des subtilités qui lui sont propres (par exemple, il faut sacrifier une carte pour pouvoir en jouer une autre ! Ou alors le décompte des points qui est fait à l’aide d’une balance). Et puis au détour d’une partie, on va remarquer des choses… Bizarres…

À partir de là, difficile de vous expliquer sans spoiler, alors je vais rester vague. Disons que vos compétences en terme d’escape room pourraient être mises à l’épreuve. Un jeu dans le jeu ? Qui lui-même est dans un jeu ? On perd pied, le cerveau explose en quatre dimensions, et on comprend le génie d’Inscryption.

Je ne vais pas vous dire que c’est un titre absolument incroyable ou parfait, car clairement, il ne sera pas au goût de tout le monde. Il a des petits défauts. L’ambiance un peu glauque peut rebuter. Il faut être adepte de deck building, aimer résoudre des énigmes, ne pas avoir peur de (tout ?) perdre.

Malgré cela, et même s’il ne révolutionne aucunement le genre, Inscryption propose un gameplay très solide ainsi qu’une histoire qui tirent pleinement partie du média : le jeu vidéo.

Il coûte moins de 20€ et propose une expérience absolument unique, tellement originale, tellement prenante, que j’aurais été triste de passer à côté. Alors je vous le conseille : jetez-y un œil ! Et essayez de ne pas le perdre. 😉

Inscryption est disponible sur Steam, Playstation 4 & 5, et Nintendo Switch

Comment extraire les données d’un graphique ?

jeudi 5 janvier 2023 à 09:00

En matière de logiciel, que ce soit pour Windows, macOS ou Linux, plus l’interface est moche, plus l’outil est puissant. Et là, je vous demande de vous arrêter d’aller au-delà des apparences puisque WebPlotDigitizer est un outil vraiment puissant.

Il arrive parfois qu’on récupère un graphique sans avoir les données qui ont permis sa génération. Et c’est bien dommage, car les données brutes pourraient alors être réutilisées ou reprises pour générer d’autres types de graphiques.

WebPlotDigitizer permet de reverser ce genre d’images pour en extraire tout simplement les données. L’outil est décrit comme semi-automatique. C’est-à-dire que vous devez quand même placer des repères sur le graph pour qu’il puisse se repérer et ensuite vous proposer les données brutes.

Il fonctionne avec des types de graphiques différents (XY, barres, polaires, ternaires…etc.), mais également des cartes ou des photos prises au microscope qui contiendraient une échelle. Grâce à ses algos, WebPlotDigitizer vous permettra alors d’extraire automatiquement un grand nombre de données de tous ces graphiques.

Vraiment génial pour les chercheurs, les informaticiens, les enseignants…etc.

Pour bien capter comment ça fonctionne, je vous invite quand même à regarder cette vidéo, car l’outil n’a pas une prise en main instinctive. Faut se former rapidement, mais après, ça vaut vraiment le coup.

L’outil est dispo sous macOS, Windows, Linux et même en version web en cliquant ici.

Un tuto en français est également disponible ici.

Sonic aux frontières du réel

mercredi 4 janvier 2023 à 12:08

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

L’année 2022 était riche en émotions pour les fans de Sonic. On a eu le droit à un nouveau film (Sonic 2), à une compil des premiers jeux remastérisés (Sonic Origins), une série sur Netflix (Sonic Amazon Prime), et bien sûr, un nouveau jeu tout beau tout neuf en trois dimensions : Sonic Frontiers !

Soyons clairs dès le début : je crois qu’il s’agit là de mon Sonic en 3D préféré ! Pourtant il n’est pas exempt de défauts, on va en parler, mais disons que le hérisson bleu n’avait jamais réussi à me convaincre totalement depuis son passage à la troisième dimension. Certains titres étaient plutôt réussis (les Sonic Adventure, Generations, Colours, ou même Secrets Rings si si) mais j’étais loin d’y prendre autant de plaisir que sur Megadrive, ou plus récemment sur Sonic Mania.

Ça démarrait plutôt mal : des environnements « réalistes » un peu ternes et vides, des ennemis au design triste et grisâtre, un aspect sonore très épuré avec de faux airs de Breath of the Wild, des structures (rampes, loopings, ressorts…) qui semblent flotter dans le ciel… Bref, pas très envie d’y jouer…

La magie opère !

Et pourtant, manette en main, ça fonctionne ! On fonce, on prend des tremplins, on grind, on éclate des ennemis en passant, on se surprend à chercher comment atteindre les objets les plus inaccessibles et à remplir toute la carte en fonçant partout, un peu à la Tony Hawk (étrangement !).

La formule est la suivante : on commence sur une île assez grande, et on remplit les objectifs que l’on souhaite dans l’ordre qu’on veut. Par exemple, résoudre une énigme, réaliser un défi trouvé en chemin, entrer dans le cyberespace et faire la course dans un niveau « classique », se caler une session de pêche avec Big The Cat, dégommer un mini-boss… En faisant tout ça, on va obtenir des clefs, qui nous permettent de débloquer les Chaos Emeralds, qui nous permettent ensuite d’affronter le boss de l’île en mode Super Sonic ! 🔥

Chaque combat demande une approche différente

L’histoire est simple mais sympa à suivre, les répliques sont bien écrites, on retrouve bien la personnalité de nos héros favoris, d’ailleurs, bravo à l’équipe de doublage car la version française est chouette ! Aussi, les musiques sont super variées, y a quelques titres vraiment entrainants. 🙂

On déplore de rares soucis de maniabilité, et certaines phases de jeu frustrantes (le flipper par exemple…) qui entachent un peu l’expérience. Aussi, les graphismes sur la version Switch sont un peu à la ramasse, c’est parfois moche. Sur PC et consoles nextgen, le résultat est beaucoup plus agréable voire franchement joli, même si les îles restent trop vides et ternes à mon goût. J’espère que dans une future suite, ils sauront nous proposer des mondes plus colorés et plus vivants !

Les niveaux du cyberespace sont chatoyants, eux !

Il n’empêche que c’est un jeu vraiment agréable, pas prise de tête, qui nous propose du fun immédiat, une très bonne durée de vie… Et d’ailleurs, des DLCs gratuits vont sortir tout au long de l’année avec notamment de nouveaux personnages jouables (Tails, Amy Rose… & Knuckles). 😉 Alors malgré ses défauts je ne peux que vous conseiller la dernière aventure de mon hérisson favori !

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Un générateur de memes qui a plus de répartie que vous

mercredi 4 janvier 2023 à 09:00

Si vous aimez passer du temps sur Twitter ou Reddit, notamment pour placer quelques memes ou taquiner quelques boulets, voici un outil qui va vous permettre d’avoir de la répartie les jours où vous n’êtes pas touché par la grâce.

C’est le site SuperMeme, spécialisé dans ces images marrantes que les gens se partagent, qui propose cette fonctionnalité boostée à l’IA. Le concept est simple : Vous lui donnez une phrase en anglais correspondant au message que vous souhaitez faire passer et celui-ci vous la résume en 2 phrases percutantes pour en faire un meme unique à partager pour rire un peu (au détriment des autres évidemment…).

Vous êtes limité à 20 essais, donc choisissez bien vos termes. Après il faudra passer à la caisse avec un petit abonnement par mois, mais honnêtement, ça les vaut, je trouve 🙂

De quoi bien rigoler !

À découvrir ici.